Burkina-Faso: Une lutte, un peuple, une alliance

Les peuple du Burkina-Faso se mobilise autour de son gouvernement de transition contre l’impérialisme. Dans une lutte acharnée pour la liberté, les burkinabè s’engagent à combattre les terroristes sur le terrain, se constituent en veille citoyenne, et forment un rempart contre l’infiltration des apatrides. 

Au Burkina, le peuple part du concept,  » la patrie ou la mort, nous vaincrons ». C’est également le slogan du capitaine Ibrahim Traoré qui se bat contre vents et marrées pour en finir définitivement avec la menace terroriste. Par l’action et l’engagement du Chef de l’Etat, les burkinabè ont finit par comprendre les manœuvres des occidentaux dans la vie politique du pays. Depuis, beaucoup répondent à l’appel de leur Président pour grossir les rangs des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) contre l’envahisseur. Le peuple est vent debout autour du capitaine Ibrahim Traoré pour mettre en échec toute tentative de déstabilisation du régime en place. Le même peuple n’hésite pas à dissuader toute infiltration apatride à des fins de déstabilisation visant à semer la division pour favoriser le retour de l’impérialisme.

Les burkinabè malgré leurs difficultés, a accepté contribuer pour l’effort de paix soutenant les forces combattantes par des apports financiers, des vivres et non vivres. A l’appel des autorités, la population a cédé un certain pourcentage sur ses salaires et revenus mensuels, en soutien aux VDP et à l’armée.  C’est une raison évidente pour féliciter et encourager ce vaillant peuple du Burkina qui a compris sa valeur républicaine et la nécessité de son implication dans la vie politique du pays.

Au stade actuel, l’heure n’est plus de baisser la garde mais de lutter. « nous lançons un appel à tous les peuples de l’AES pour qu’ils restent unis et solidaires. Toute souffrance a une fin. La lutte que nous avons engagée est dure. Mais il faut rester la tête sur les épaules, parce que l’arme fatale de l’impérialisme reste la manipulation à travers la communication. Sachez reconnaître les valets locaux, sachez reconnaître les esclaves de salon » a exprimé le Chef de l’Etat lors de la manifestation en soutien à la transition samedi 17 février.

Ainsi les tentatives de déstabilisation sont multiformes et n’ont pas encore été complètement déjouées. La preuve selon plusieurs informations, « Plusieurs dizaines de millions de francs CFA ont été injectées au Burkina pour manipuler certains leaders afin de pouvoir mettre en cause la lutte engagée » a averti un panafricaniste. Ainsi, l’opinion en appelle à la vigilance du peuple burkinabè pour démasquer toutes ces apatrides corrompus et valets locaux qui répondent aux ficelles de l’impérialiste.

L’AES en sommet prochainement

En prélude au sommet des Chefs d’Etat de l’Alliance des Etats du Sahel (AES), des ministres de l’AES ont été reçus dans la capitale burkinabè  jeudi 15 février 2024 par le Président de la Transition, le Capitaine Ibrahim Traoré.

La délégation conduite par le Ministre d’Etat, Ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation du Mali, le Colonel Abdoulaye Maïga, dit être venue rendre compte des conclusions des travaux des experts des trois pays au Président de la Transition, le Capitaine Ibrahim Traoré.

Les experts ont, en effet, mené une réflexion sur des sujets d’intérêt commun aux peuples des trois Etats, élaboré un traité portant création d’une Confédération réunissant les trois pays et formulé des propositions pour une architecture institutionnelle de l’AES qui devrait lui permettre de fonctionner efficacement.

Selon le Colonel Abdoulaye Maïga, la délégation a bénéficié des conseils et recommandations du Président de la Transition burkinabè pour une matérialisation de la vision commune des trois Chefs d’Etat, a indiqué la même source.

Eric K.

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